samedi 16 juin 2012

SI J'ETAIS DICTATEUR

Je rendrais OBLIGATOIRE "Sur les épaules de Darwin"
Samedi matin de 11 à 12 : une dose de pur bonheur par semaine.

http://www.franceinter.fr/emission-sur-les-epaules-de-darwin-les-battements-du-temps-37-les-bruits-du-monde

mardi 12 juin 2012

EN BAS DE CHEZ TOI

Une Corvette en bas de la rue c'est chouette.
Une Ford Mustang décapotable bleu piscine, ça claque !
Combien le monde compte-t-il de merveilles, déjà ?

lundi 11 juin 2012

L'ECRIVAIN ET LA SCIENTIFIQUE

Un homme entend parler de cette femme qui, un jour d'août 1988, commence une expérience qui va durer 4 mois et qui consiste à s'isoler dans une grotte, avec comme seuls contacts extérieurs, une équipe scientifique réduite au strict minimum, entourée seulement d'outils et d'appareils capables de mesurer les réactions de son corps. (Mesures de son activité cardiaque et cérébrale, tests de vigilance, etc. ...) Elle lit, écrit, s'écoute durant cet enfermement volontaire.

L'homme est étonné et grandement impressionné par cet acte au point qu'il décide de tenter lui aussi l'expérience dans son appartement parisien, se coupant du monde pendant un an. Plus aucun contact avec l'extérieur. Rien d'autre que le son de sa voix et de ses pensées.

Au bout de quelques mois, il se met à écrire et le 365ème jour, sort de son isolement. Renoue doucement avec la vie et sort avec une amie qui l'emmène dîner. Le même soir, la scientifique, alors elle aussi revenue à une vie sociale "normale" depuis plus d'un an, décide de mettre fin à ses jours.
On la retrouve morte dans sa voiture, garée dans la rue du restaurant où dîne l'écrivain.
Cette expérience d'enfermement, de total isolement a provoqué sur ces deux êtres, connectés, je le crois, deux réactions opposées.

La scientifique est morte, l'écrivain est né.

Cette condition de solitude extrême a fait sortir ou révélé leur intérieur. Je me pose la question : Cet intérieur doit-il s'exposer ? Ou sa révélation provoque-t-elle un choc si fort que cela nous mène à la folie ? L'isolement et les questions qui s'ensuivent mènent-elles à une folie qui peut conduire au suicide ?
Nous ne sommes pas des êtres réversibles. Nous sommes des êtres "déséquilibrés, bancals et fragiles" comme dit cet écrivain et certains le cachent mieux que d'autres. Les uns peaufinent leur armure et leur bouclier tandis que d'autres ont l'honnêteté et le désespoir de se montrer tels qu'ils sont sans dissimuler leur fêlure, la blessure par lesquelles passent leurs tripes. Ils tiennent alors en équilibre.
Les gens fêlés tiennent en équilibre.


http://www.franceinter.fr/emission-eclectik-philippe-jaenada-0

vendredi 8 juin 2012

UN PEU DE CHOCOLAT NOIR


VENDREDI :

Les contes de fées sont faussés, Cendrillon était de la Haute.

Suis d'accord avec Beigbeder : "Je n'aime que lire, écrire et faire l'amour. Par conséquent, un studio me suffit pour vivre, à condition qu'il contienne une étagère, un ordinateur et un lit."
Sauf, que moi, je n'ai plus d'activités sexuelles depuiiiiiiis... Par conséquent, j'ajouterais à cette liste du chocolat noir de temps en temps.

jeudi 7 juin 2012

MISE A JOUR


RESUME DES EPISODES PRECEDENTS :

(Je lisais ça dans le Télé7Jours quand je suivais, collégienne, Santa Barbara. Je ne sais pas si cette formule existe encore car je ne lis plus le Télé7Jours)

En mai, donc, un petit tour du côté de la campagne vendéenne (pléonasme ?), de la pluie et de quelques souvenirs d'enfance. Aujourd'hui : confitures et ratatouilles maison, repos.


LES SEMAINES SUIVANTES :

(Re)découverte de ma passion pour la généalogie. Je piste et mène l'enquête pour retrouver la trace de Feue Marie-Madeleine, du 66, avenue de Breteuil et traîne dans les cimetières!

Je cherche aussi du côté des clubs du 8ème, mais pas la même chose et surtout pas autre chose que danser et faire la fête.


PLUS RECEMMENT :

Emmène Arthur à la piscine qui aime faire des longueurs, ça tombe bien moi aussi. Il aime aussi embrasser avec la langue, mais, c'est tout nouveau, il hésite encore.

Soirées cocooning-gribouillages avec bougies, encens, après les speed-dating et les boîtes... je ne récupère plus comme à 20 ans. Finalement, une semaine sur 2, c'est bien.


DIMANCHE :

J'aime bien dire des phrases comme :

- Vite, Robin, à la Bat-cave !

- Les plus jolies choses arrivent par hasard,

- Un vieux de la vieille à qui on l'a fait pas,

- Cette fille, quel chameau !

- La jolie route qui mène à la vie,

- Message sent from my BlackBerry, please ignore typos.


Mais je ne saurais pas vraiment quand les placer ?


LUNDI :

Du boulot ras la gueule et j'aime ça.

Dans ma boîte auxc lettres en rentrant, mon numéro d'ordre à LA MAISON DES ARTISTES... Il était temps ! Non, les choses arrivent quand elles doivent arriver et pas vraiment par hasard, alors ??? Les gens se croisent au bon-moment-venu.


MARDI :

Je comprends des choses toute seule comme une grande, en courant sur le stade. Des histoires de séductions par exemple et pas seulement parce que je lis encore un Beigbeder. Donc, je prends des décisions, de bonnes résolutions qui coulent toutes seules :
Pratiquer la "séduction naturelle non contrôlée".
Zénifier, se laisser flotter.
Le laisser se pencher sur mes seins en faisant semblant de ne rien voir et lui dire que "Si, ce grand brun-là, c'est peut-être mon genre après-tout" Et pas seulement après-tout.


MERCREDI :

Je déteste le bus.
Autant le métro, je regarde, j'écoute, je souris parfois, je ferme les yeux ou les plonge dans mon bouquin, je me raidis sur mon strapontin, je regarde mes pieds... autant le bus, je déteste.
Pourquoi LES GENS ne font-ils pas attention AVANT, ça leur éviterait de s'excuser tout le temps.
Je pourrais leur dire aussi de s'acheter un livre et d'arrêter de téléphoner trop fort ou négocier directement avec le fabricant une auto-destruction de téléphone portable ou d'I-Pod, déclenchée en cas de dépassement de décibels ou d'isolement aggravé. A voir.


JEUDI :

Envie de nager dans l'eau salée, de regarder les pins parasols et d'écouter le nouvel album d'Alain Chamfort, juste pour Manuréva.